Chaleur, chaleur

pas très original mais on doit pouvoir s'amuser.


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Dolo :

À travers les feuillus, le soleil cherche à titiller la peau lisse des trois nanas qui profitent d'une plage improvisée, dans un chemin en pleine nature. Soudain, un craquement les fait sursauter. Un homme d'un certain âge les regarde d'un air ronchon.
— Hé, les petites dames, vous vous croyez à Saint-Tropez. Vous êtes sur un terrain privé. Ouste, Fichez-moi le camp ! Saperlipopette, quelle jeunesse !
Les trois nénettes se lèvent, essaient d'enfiler leurs vêtements dans un fou-rire qui déstabilise leurs gestes. La séance d'habillage terminé, elles déguerpissent comme des flingueuses malgré la chaleur.

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Lix :

Ambiance caliente ! Les corps étaient de braise dans la chaleur estivale. La proximité de centaines de personnes, voire de milliers, favorisait rires et discussions animées. Sur une estrade aux dimensions impressionnantes, les talons claquaient au son du flamenco. Les robes aux couleurs chaleureuses s'agitaient avec frénésie au même titre que les fiers costumes sombres à large ceinture rouge. Les bras surmontés de mains élégantes aux doigts musiciens s'envolaient, s'entrecroisaient vers le ciel... dans une odeur de sardines grillées dont j'ai encore le goût en bouche. Souvenir de gamine, années 1980, Melilla, j'habitais alors au Maroc.

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Jean :

Nous avions quitté le maigre oasis avec des réserves d’eau un peu sous-estimées.
“Le renard chemine toujours sur les hauteurs” dit Pifou trappeur.
Nous évoluions donc sur les crêtes d’immenses dunes de sable s’étendant à perte de vue, le soleil frappait avec constance nous liquéfiant le cerveau.
Sans un mot, sans un bruit, des caravaniers nous ont doublés, l’air méprisant.
Nous avons vidé nos chaussures remplies de sable et sommes repartis
Le trajet était de plus en plus flou, moins évident.
Nous avons alors vu, à portée de fusil, l'Atlantique scintillant au soleil couchant.

**********

Jean :

Je sais que vous allez me détester, mais il faut que je vous raconte.
J’ai revu Jocelyne à la boulangerie. On a parlé de tout, de rien, de sujets intimes, je sentais bien que je ne lui étais pas indifférent.
"Rendez vous vers dix sept heures au maset." Lui ai-je soufflé à travers mon masque FFP2.
Vous l'avez bien compris, c'était pendant le confinement.
J’ai rempli l’attestation : Déplacement bref !!! lié à l’activité physique individuelle.
Sur place, elle piaffait d'impatience son "York" en laisse.
Nous sommes rentrés dans l’inconfortable cabane et voilà.

L'on pourrait se poiler à défaut de se mettre oilpé... c'est la chaleur, Monsieur, qui me fait écrire des bêtises !

Les Bleus ont chaud aux fesses. Mi-temps, j'en profite pour poster un petit drabble... Pour le fun !
Belle fin de soirée à tous.

Et voici mes bêtises pour une médaille d'or  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

À travers les feuillus, le soleil cherche à titiller la peau lisse des trois nanas qui profitent d'une plage improvisée, dans un chemin en pleine nature. Soudain, un craquement les fait sursauter. Un homme d'un certain âge les regarde d'un air ronchon.
— Hé, les petites dames, vous vous croyez à Saint-Tropez. Vous êtes sur un terrain privé. Ouste, Fichez-moi le camp ! Saperlipopette, quelle jeunesse !
Les trois nénettes se lèvent, essaient d'enfiler leurs vêtements dans un fou-rire qui déstabilise leurs gestes. La séance d'habillage terminé, elles déguerpissent comme des flingueuses malgré la chaleur.

Ambiance caliente ! Les corps étaient de braise dans la chaleur estivale. La proximité de centaines de personnes, voire de milliers, favorisait rires et discussions animées. Sur une estrade aux dimensions impressionnantes, les talons claquaient au son du flamenco. Les robes aux couleurs chaleureuses s'agitaient avec frénésie au même titre que les fiers costumes sombres à large ceinture rouge. Les bras surmontés de mains élégantes aux doigts musiciens s'envolaient, s'entrecroisaient vers le ciel... dans une odeur de sardines grillées dont j'ai encore le goût en bouche. Souvenir de gamine, années 1980, Melilla, j'habitais alors au Maroc.

Saperlipopette ! sympa tes flingueuses, Dolo.

A Dolo: bien raconté et imagé.J’ai eu peur d’une autre chute, mais tout est bien qui finit bien!

A Lix: on s’y croirait, température, couleurs, musique, effluves ! Ah cette bonne odeur de sardines grillées ! J’en connais qui auraient dit » ça pue le poisson! » Une seul détail:les «  doits »( faute de frappe…

Comment ça, l'écriture automatique du tel ne m'a pas signalé cette erreur ? :-)

Nous avions quitté le maigre oasis avec des réserves d’eau un peu sous-estimées .
“Le renard chemine toujours sur les hauteurs” dit Pifou trappeur.
Nous évoluions donc sur les crêtes d’immenses dunes de sable s’étendant à perte de vue, le soleil frappait avec constance nous liquéfiant le cerveau.
Sans un mot, sans un bruit, des caravaniers nous ont doublés, l’air méprisant.
Nous avons vidé nos chaussures remplies de sable et sommes repartis
Le trajet était de plus en plus flou, moins évident.
Nous avons alors vu, à portée de fusil, l'Atlantique scintillant au soleil couchant.

Lix a écrit:Saperlipopette ! sympa tes flingueuses, Dolo.

C'est un petit passage d'un ancien texte que j'ai légèrement remanié. Aucun mérite pour la création. Pas de médaille

Fid-ho LAKHA a écrit:A Dolo: bien raconté et imagé.J’ai eu peur d’une autre chute, mais tout est bien qui finit bien! Et un drabble en plus!

Oh ben non pour la chute. Il y en a suffisamment en liberté dans la vraie vie

Je sais que vous allez me détester, mais il faut que je vous raconte.
J’ai revu Jocelyne à la boulangerie. On a parlé de tout, de rien, de sujets  intimes, je sentais bien que je ne lui étais pas indifférent.
"Rendez vous vers dix sept heures au maset." Lui ai-je soufflé à travers mon masque FFP2.
Vous l'avez bien compris, c'était pendant le confinement.
J’ai rempli l’attestation: Déplacement bref !!! lié à l’activité physique individuelle.
Sur place, elle piaffait d'impatience son "York" en laisse.
Nous sommes rentrés dans l’inconfortable cabane et voilà.

Encore Jocelyne? Je vais aller lui tailler le portrait à celle là !

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Faites, faites!

OK, chef, je ferai